mardi 29 janvier 2013

Lady Doll t.2, Une maison de poupée de Daniele Vessella


Editions Soleil

Résumé :

Cachant son visage difforme sous un voile, Gaja fascine la haute-société par son mystère. Ses soupirants s’enfuient cependant sitôt la vérité découverte. Une fois de plus, les seules à ne pas la repousser sont ses amies les poupées... Les poupées, et Sébastien, un jeune peintre sans le sou tombée sous le charme de son univers.
Mais après toutes ces années de rejet, la confiance de Gaja est brisée.
Laissera-t-elle une chance à son amour naissant ?

Mon avis :

Je peux dire que je l’ai attendu ce tome 2 !

J’avais laissé Gaja enfant à la fin du tome 1 et ici, je le retrouve jeune femme. Heureusement des flash-back expliquent un peu ce qui s’est passé entre temps car sinon, j’aurais été perdue.

Comme toute jeune femme, Gaja rêve d’amour mais malheureusement son visage fait fuir les prétendants et alors qu’elle abandonne tout espoir, elle va rencontrer Sébastien, un artiste, qui en pince réellement pour elle…mais c’est sans compter sur le père de Gaja bien décidé à pourrir la vie de sa fille.

Si au niveau du graphisme, je suis toujours aussi fan des couleurs et des traits de crayon, au niveau de l’histoire, je suis un peu déçue. Il faut dire que le premier tome m’avait tellement plu que j’en attendais peut-être de trop.
Dans ce tome 2, j’ai trouvé qu’il manquait quelque chose pour que la sauce prenne véritablement, il y a un côté un peu bâclé qui me dérange, les choses sont amenées vite et vont vite alors, qu’au contraire, j’aurais aimé qu’on prenne notre temps pour savourer.
La fin arrive vite et elle est triste, très triste (décidemment entre ça et Lady Oscar, je les cumule en ce moment), et en plus j’ai réalisé qu’il n’y aurait pas de suite. D’un côté, il vaut mieux s’arrêter quand on le sent plutôt que de continuer juste pour le profit mais d’un autre, Gaja va me manquer et pour moi, il y avait encore des histoires à raconter sur elle et son univers.

Ne vous y trompez pas, je lis rarement des BD car ce n’est pas mon style donc pour que je suive une série, il faut vraiment que celle-ci me plaise, ce qui est le cas ici.
C’est donc un deuxième tome toujours très beau et assez bon mais moins savoureux que le premier.
Gaja va malgré tout me manquer….

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